lunes, 26 de noviembre de 2012

Detrás del cristal.

Hace algunos años mire la película de Espejos Malditos... Ya se, lo que pasa es que recuerdo mucho la escena donde el protagonista se queda atrapado detrás de los espejos.  Puede ver todo, pero nadie lo mira a el... Pienso que así nos pasa a ciertas personas. Durante algún tiempo me sentí atrapada detrás de los espejos, viendo sin que nadie me viera... .Ahora pienso que es al revés.   Pueden verme, pero yo no veo nada, ni me interesa ver...

jueves, 28 de junio de 2012

En busca de la luz...

En cherchant de la lumière.....

Autour: Blanca Ramirez.
Jueves, 17 de Mayo de 2001
Il y a beaucoup d’ans, au temps où le soleil était plus brillant, et les continents n’étaient pas de la meme forme q’aujourd’hui, il exista une belle île appelée Cyram.  Cette île était vraiment belle et unique, avec beaucoup de fleurs et d’animaux que n’existaient pas dans d’autres lieux du monde.  Mais elle avait quelquechose plus spéciale: toute elle était couverte para une immense nuage noire.  Cette nuage empêchait le pas des rayons du soleil.  Alors, toute l’île était toujours presque dans l’obscurité pendant l’après-midi, et après de ça, pendant la nuite, c’était l’obscurité absolute, et personne ne pouvait sortir.  La nuage noire couvrait du nord au sud et de l’est au l’ouest, tellement que les habitants ne pouvaient distinguer d’autres mondes que Cyram.  Mais pour les gens tout ça était normal.  Ils ne rappelaient pas d’autre manière de vie.  Ils ne savaient pas que le soleil et la lune existaient.  Ils n’avaient jamais essayé de voyager dehors l’île car ils pensaient qu’ils pourraient se perdre dans l’obscurité.  Ainsi, leur vies se deroulaient dans la pénombre,  couvertes par des jours tristes et lugubres.

Sauf l’obscurité et la tristesse bizarre que trônait toujours parmi les habitants de Cyram, ils menaient une vie ‘normal’.  Il y avait un gouverneur qui préservait l’ordre.  Les hommes et les femmes se mariaient en formant des familles. Jusqu’à ce moment, personne n’attendait, n’imaginait que quelquechose spéciale puisse passer.  Bon, presque personne, parce qu’il y avait une personne qui avait des idées très différentes.  C’était une belle fille de quinze ans appelée Alysse.  De la même manière que tous les habitants, elle fut née entournée par l’obscurité. Il se pourrait dire qu’elle était une fille presque comme toutes les autres filles de son âge, pleine de douceur et d’innocence. Mais Alysse était assez distraite et pensive.  Elle passait ses jours en pensant à la possibilité de l’existence d’autres mondes différents du sien.  Dernièrement il y avait quelquechose qui leur faisait beaucoup de souci, et qui la rendait plus pensive.  Il y avait quelques jours qu’un revê très bizarre couvrait ses nuits. Elle n’arrivait pas à le comprendre.  Elle rêvait  qu’elle se promenait dans un forêt près de sa maison qu’elle aimait beaucoup. Mais tout à coup, au moment qu’elle se penchait pour ramasser des fleurs, le forêt changeait d’une façon extraordinaire.  Les arbres et les fleurs acqueraient  des couleurs inconnues qui brûlaient sa vue au point qu’elle fermait ses yeux.  Elle essayait de les ouvrir plusieurs fois et, au moment qu’elle y réussissait, elle voyait que le forêt avait une beauté extraordinaire. Ensuite elle essayait de voir le ciel, mais en ce moment quelquechose dans le ciel blessait sa vue...En ce moment, elle se revellait.  Elle avait eu le même rêve les derniers jours, toujours de la même façon. Mais la dernière fois le rêve eut un fin different.  Elle écouta une douce voix que lui disait:  “Vas au forêt ce soir-ci, assois sous l’arbre que tu aimes le plus, et attends pour moi. Alors tu vas comprendre ce rêve-ci”.  Alors, elle passa tout ce jour en pensant sur ça.  D’où venait cette voix? Qu’est-ce qu’elle voulait dire quand elle lui disait qu’elle allait comprendre?...

Ainsi, ce soir-là elle alla au forêt,s’assit sous un arbre qu’elle aimait beaucoup, et puis elle attendit, et attendit jusqu’à ce qui elle ne put plus le faire et elle se dormit et le temps passa.  Quand elle se reveilla elle vit quelquechose extraordinaire: Une jeune femme était en face d’elle.  La femme était habillée comme une princesse.  Elle et ses vêtements étaient d’une beauté extraordinaire, et avaient des couleurs si bizarres que blessaient la vue d’Alysse, de la même manière que dans son rêve.  La femme le souriait avec douceur.

-         Qui es-tu? - lui demanda Alysse.

-         Je suis la fée qui garde ce forêt.

-         Je peux à peine voir comment tu es – dit Alysse – J’essaye de le faire, mais j’ai  mal aux yeux

-         C’est la lumière qui est à l’origine de ça – repondit la fée.

-         La lumière, qu’est-ce que c’est? – demanda Alysse.

-         La lumière est une belle energie qui cause que toutes les choses du monde se voient avec la beauté qu’elles furent créées, de la même manière que le forêt  se voyait dans ton rêve.

-         D’où vient-elle?

-         C’est une question difficile. Beaucoup de choses la causent. Il y aura un jour où tu comprendras. Mais pour le moment je peux seulement te dire que la lumière qui fait que toutes les choses se voient comment elles sont, cette lumière vient du soleil.  Le soleil est une grande étoile qui est dans le ciel et qui ilumine tous les lieux du monde jusqu’au soir, et après il s’en va et puis la lune vient.  Elle illumine les nuits avec une lumière ténue.  Et puis des autres étoiles plus petites ou lointaines apparaissent dans le ciel. Il est tres beaux de voir le ciel plein d’étoiles autour de la lune.

-         Je comprends plus ou moins ce qui est la lumière.   Mais ici, dans cette île, il n’y a pas de lumière, de soleil et d’étoiles – dit Alysse – Pourquoi?

-         Le soleil, la lune et les étoiles sont pour tout le monde.  Et bien sur ils sont ici pour Cyram, mais vous ne les pouvez pas voir parce que la nuage noire qui couvre le ciel vous empêche de le faire – dit la fée.

-         Mais porquoi il existe, cette nuage?

-         C’est une nuage que la tristesse forma il y a beaucoup d’ans.  Je vais te raconter:  Il y a plus ou moins 500 ans, un roi appelé Dhazim trônait sur cette île. Tous les habitants l’aimaient parce qu’il avait un grand coeur. Il n’avait qu’un fils appelé Noureddine, le prince.  Il  était même plus généreux et bon homme que son père, et lui, il était aimé par tous les gens.  Il toujours cherchait la manière de les aider quand ils avaient des problèmes.  Mais en ce temps-la, il exista aussi un mauvais magicien appelé Hassid.  Il habitait dans une partie du forêt inconnue par tous.  Personne ne l’avait vu.  Persone ne savait qu’il existait.  Il avait des mauvais sentiments.  Il détestait toutes les choses bonnes.  Il détestait que les gens étaient hereux.  Et il detestait le roi, mais surtout il detestait le prince, parce que le prince était un bonne garçon.  Son haine vers le prince grandit tellement qu’il commença á penser comment il pouvait se débarraser de lui.  Comme toi, le prince avait l’habitude de se promener dans ce forêt. Et un soir où le prince se promenait ici, tout à coup le magicien apparut et lança une poussière noire sur le prince.  Et après de ça, le prince dispparut. Quand le roi vit que le prince ne retournait, il commença le chercher partout, mais le prince n’apparut jamais.  Personne ne comprenait ce qui s’était passé.  Le roi mourut de tristesse.   Mais son triste esprit resta dans l’île et il prit la forme d’un nuage noir.  C’est la grande nuage que maintenant couvre toute cette île.

-         Quelle triste histoire!

-         Ce n’est pas une histoire. C’est vraie.

-         Alors, les ans passèrent, et les gens d’ici oublièrent qu’une fois le soleil illumina Cyram.

-         Et le prince? Est-il vraiment mort?

-         Le prince, lui, ne mourut pas.  Il vit encore. Mais il fut victime d’un envoûtement avec lequel il fut envoyé à La Region Noire.  C’est un région qui existe entre la vie et la morte. Il reste là. Pour lui, le temps n’est pas passé. Mais il ne pense à rien. Il ne sent rien.

-         Mais, si le prince sortait de l’envoûtement...Qu’est-ce qu’il se passerait?

-         L’esprit du roi pourrait se reposser.  Alors, la nuage noire disparaitrait, et la lumière du soleil, de la lune et des étoiles pourrait iluminer tout comme dans les beaux temps du roi.

-         Qu’est-ce qu’on peut faire pour que le prince sorte de son envoûtement?

-         Tu veux que ça se passe?

-         Oui, Je veux que le prince et la lumière retournent à Cyram. S’il te plait, dis-moi ce qu’on peut faire. Je sais que tu le sais.

-         Bien, je te dirai ce que TU dois faire. Tu dois voyager à La Region Noire, chercher le prince et prendre ses mains entre les tiennes.  Le contact avec la vie cassera l’envoûtement. Alors, vous devrez retourner à Cyram. Et la lumière retournera avec le prince.

-         Mais, comment je vais faire ça?.  Je ne suis jamais sortie d’ici.

-         Je vais te dire ensuite comment tu feras.

Et en ce moment, la fée sorta une belle amulette de ses vêtements.

-         Prends cette amulette. C’est magique. Tu devras la porter toujours avec toi. Elle te protegera, et t’emmenera à La Région Noire.  Tu devras serrer l’amulette entre tes mains, fermer les yeux et penser à la lumière et le prince. Quand tu auras ouvert tes yeux, tu verras qu’un chemin aura apparu en face de toi.  Tu  devras suivre le chemin.  Il sera obscure. Mais tu ne devras jamas avoir peur.  Quand tu arriveras là, tu devras chercher le prince.

-         Mais comment je saurai qui est le prince?

-         Parce que c’est l’unique lumière là-bas. Là, c’est presque l’obscurité total.

-         Comme ici?

-         Non, c’est pire.

-         Et, comment nous retournerons ici?

-         L’amulette vous aidera chercher le chemin du retour.  Il sera comme le chemin du répart. Quand l’amulette brille, ça voudra dire que vous êtes dans le bon chemin, et quand elle arrete de briller, vous serez dans un chemin erroné.  Mais tu dois te dépêcher.  Il reste seulement 5 heures pour que l’ envoûtement ne puisse jamais être cassé.

-         5 heures !!! Ça ne suffira pas!

-         Il suffira!. Bon, Je dois te laisser.  Je seulement vais te dire encore que tu ne dois pas avoir peur.  Si tu as peur, les êtres qui habitent La Région Noire essayeront de vous attraper...C’est tout ce que je peux te dire. dépêche-toi! Et bonne chance!! La fée disparit, et Alysse resta seule.  Elle serra l’amulette entre ses mains, pensa à la lumiere et le prince, et ferma ses yeux.  Quand elle les ouvra, le chemin apparut en face d’elle.  Alors elle commença parcourir le chemin et quand il finit, elle sut qu’elle était dans La Region Noire. Elle paraissait être déserte. C’était vraiment horrible.  C’était comme une forêt obscure, mais les arbres étaient morts, et le sol était si plein de ceindres qu’elles presque couvraient les pieds.  Alors Allysse commença chercher le prince.  El parcoura tous les sentiers en cherchant le prince. Quand elle arriva au point qu’elle était très fatiguée, elle eut envie de retourner, mais elle continua en cherchant.  Tout à coup elle vit quelquechose qui brillait au loin. C’était le prince.  Alors elle coura jusqu’à ce point et quand elle y arriva, elle vit le prince.  Il était immobile, avec les yeux fermés. Il était si beaux qu’Alysse passe quelques minutes en le comtemplant.  Elle prit les mains du prince entre les siennes.  Le prince réagit:  Il ouvra ses beaux yeux et vit Alysse avec surprise.

-         Qui es-tu? demanda-t-il.

-         Je n’ai pas assez de temps pour te donner des explications.  Je seulement peux te dire qu’on est dans La Région Noire. Tu as été victime d’un envoûtement qu’un mauvais magicien t’a fait.  Mais tu viens de te reveiller, et nous devons sortir d’ici en vitesse. S’il te plaît, ne me fais pas de questions et viens avec moi!

-         Le prince ne sut jamais la raison pour laquelle il fit confiance à la jeune fille, mais il decida de la suivre. Alors elle prit la main du prince et commença chercher le chemin de sortie, aidée par  l’amulette.  Chaque fois que l’amulette arretait de briller, Alysse changeait de sentier jusqu’à ce qu’elle brillait encore.  Le prince ne comprenait rien, mais il faisait confiance à la jeune fille.  Alors, au loin, Alysse vit le chemin du sortie.  Mais, quand ils étaient près de la sortie, l’amulette s’emmêla parmi les branches d’un arbre, et tomba au sol plein de ceindres...

-         L’amulette!, nous devons le trouver!

-         Pourquoi? – demanda le prince.

-         Ne fais pas de questions. Aide-moi le trouver. Les deux commencèrent le chercher, mais l’amulette n’aparaissait pas.  La peur commença  à s’emparer d’Alysse.  Alors un group d’êtres de la région apparut autour d’eux.  Les êtres étaient vraiment horribles, et ils étaient très près d’eux.  Alysse rappela les mots de la fée, fit un grand éffort, et la peur sorta d’elle.  Le group d’êtres disparut lentement.  Le prince no comprenait rien. Il croyait qu’il était dans un mauvais rêve. En ce moment-là, Alysse vit l’amulette briller parmi les ceindres.  Elle la prit, et le chemin du sortie apparu encore devant eux.  Mais quand ils arrivèrent au chemin, un grand précipice apparut devant eux.  Il étais tres profond.

-         Qu’est-ce qu’on va faire? – demanda le prince.

-         Laisse-moi penser!  - dit elle. 

La fée ne l’avait rien dit sur cette situation. Mais il restait peu de temps.  Elle serra l’amulette, et elle écouta quelquechose.  C’était la voix de la fée.  Elle lui disait: Sautez!!. Alors, elle prit le main du prince, et sauta.  Les deux jeunes tombèrent vers le précipice et tout commença à tourner.  Le temps perdit sa signification. Tout devint flou.  Tout à coup ils tombèrent sur une superficie plane.  Quand ils ouvrèrent les yeux, ils étaient dans la forêt de Cyram.  Mais pour Alysse il était très différent.  La lumière iluminait tout. Les arbres et les fleurs avaient une beauté extraordinaire, comme dans son rêve.  Tout était bien, tout était beaux.

-         Tout se voie différent!  C’est le soleil. C’est sa lumière.  Elle est retournée.

-         La lumière? Le soleil? . Je ne comprends rien - dit le prince.

-         Je dois te donner beaucoup d’explications...Mais nous devons aller avec les gens de l’île. Allons-y! 

Quand ils arrivèrent là, les gens avaient peur. Mais quand les jours passèrent, les gens admirèrent la beauté de la lumière.   La vie se transforma complètement et la tristesse des gens disparut.

Les jours passeront, le prince tomba amoureux d’Alysse et un an après ils se marièrent et ils formèrent une belle famille qui avait l’habitude de se promener dans la forêt. Mais ils voyagèrent aussi et connurent des autres ‘mondes’ différents, toujours accompagnés de ses amis: le soleil, la lune et les étoiles.  Alors Alysse comprit les mots de la fée quand elle disait que la lumière venait de beaucoup de parts. D’abord elle connut la lumière que venait du ciel, mais après elle connut la lumière que venait du vrai amour, et elle était sans doute aucune la plus belle.
Qu’est-ce qu’on pourrait en apprende? Peut-être que le chemin vers la lumière n’est pas facile, mais on doit le suivre car il vaut la peine de la voir briller à toute sa splendeur.

Avec amour...Blanche...

miércoles, 27 de junio de 2012

Incandose...

A veces hay que incarse ante la vida, pedir perdon por no habernos tenido el respeto necesario en determinados momentos de nuestra vida.  Incarse, pedir perdon, respirar profundo, dejar que salga el dolor, dejar entrar la esperanza, sonreir a pesar de todo y seguir adelante, siempre adelante...

martes, 26 de junio de 2012

Caidas y levantadas

No cabe duda que la vida es una sucesión eterna de caídas y levantadas.  Cuando crees que ya la libraste, te vuelves a caer de nuevo.  Y piensas: Por que me volví a caer? Que hice mal?...Podre volver a levantarme?... Psan unos dias de oscuridad y de pronto, una luz surge y te vuelves a levantar.  A veces la luz surge dentro de ti, a veces es algo que lees, a veces la luz viene de un angel de carne y hueso.  Pero invariablemente, cada vez que te levantas, te sientes mas fuerte que la vez pasada, y despues, pasan muchos días sin sufrir un caída, y así pasa el tiempo... Hasta que llegue un momento en que subidas y caidas se lleguen a uniformar, haciendo una linea plana, que poco a poco nos conducira a sanar nuestras heridas. Sabio es el tiempo...

miércoles, 20 de junio de 2012

Dejando ser...

Peor aun que sentir que nuestros sentimientos son despreciados, peor aun es nunca haberlos expresado... Pero el haberlos sacado de nuestro corazon, el haberlos entregado a quien queriamos hacerlo, el haberlos dejado ser, eso le da una tranquilidad a nuestro espiritu. Los sentimientos surgieron, salieron de nuestro corazon y fueron entregados a quien debian ser entregados, se hayan apreciado o no. Cumplieron con su objetivo de ser y vivir en su momento... :)

El trabajo siempre rinde frutos, peeero....

Dijo el Dr. Adrian Rogers:
"No se puede establecer la libertad del pobre, sobre la base de dejar sin libertad al rico. Todo lo que una persona recibe sin haber trabajado para obtenerlo, otra persona deberá haber trabajado para ello, pero sin recibirlo"...(Extracto).

Esta es la clave: El trabajo es el trabajo. Tarde o temprano el trabajo honrado rinde frutos... Pero el caso es que rinda para nosotros mismos, para los que nos partimos el alma y el corazon dia a dia, para tener un mejor nivel de vida para nosotros y los nuestros, no para las personas que no lo merezcan.  Para aquellos que solo vayan caminando y de pronto arranquen una flor, que alguien mas se dedico a sembrar, regar y ver crecer.... La clave esta que el fruto se vaya a donde se debe ir...

miércoles, 6 de junio de 2012

Sanacion...

Con mi corazon y mi vida casi sanados por completo, me dispongo a empezar el segundo acto. No hay ninguna garantia de que este vaya a ser mejor que el primero, ninguna por completo. 
Pero lo que si puedo garantizarme a mi misma es que lo voy a vivir con todo entusiasmo y alegria, viviendo cada segundo sin importarte el resultado final, con total respeto hacia mi misma... :)

miércoles, 25 de abril de 2012

sábado, 7 de abril de 2012

El diamante robado, Parte I.

En alguna aldea lejana a nuestros días, un joven llamado Etién iba caminando por el bosque, cuando de pronto vio algo brillar a lo lejos. Al irse acercando, vio que que trataba de un pequeño objeto cristalino, con destellos multicolores. De pronto oyó una voz femenina que susurraba: "Es para ti, este diamante es tuyo. Mientras lo tengas contigo, te dará prosperidad y felicidad. Pero solo es tuyo. A cualquiera que intente robártelo, el diamante de principio pareciera que le traerá la felicidad como a tí, pero con el tiempo, solo le ocasionará tristeza, vacío y desolación a quien se atreva a robártelo...Llévatelo pues, contigo, es mi regalo...".

El fin de una etapa...

Una etapa ha llegado a su fin.  Bueno, ya varios meses atrás llego a su fin, pero hasta ahorita soy plenamente consciente de ello.  ¿Que si le etapa que acaba de pasar fue feliz? No podría contestar esta pregunta. Cuando los acontecimientos que creímos fueron buenos en su momento, han sido opacados totalmente por un negro acontecimiento mas reciente, sucede que este acontecimiento borra todo lo bueno que hubo atrás. Es curioso, pero así es, así funciona esto. Entonces solo queda una bruma gris de toda aquella época. Pero que queda de todo eso?:
  1. Un extraño dolor que tiene que irse borrando con el tiempo.
  2. Queda mi Kiara y mi Regina, que siempre estarán conmigo, pase lo que pase y este con quien este.
  3. Varios objetos, que es mejor guardar en cajas, tirarlos o regalarlos.
  4. Un mar de preguntas, que jamas tendrán respuesta alguna, y por lo tanto es mejor enterrarlas.
  5. Unas terribles ganas de salir adelante, cueste lo que cueste, aferrándose hasta con las uñas a una nueva vida, en donde solo reine la verdad...
  6. Cicatrices en el cuerpo y en el alma, que deberán sanar en su momento.
Un ciclo se cierra, y se cierra completamente, para dar oportunidad al ciclo nuevo que se acerca, mucho mas claro y real...

Vivir a plenitud...

Cuando era niña, tenia un sueño recurrente…
Soñaba que estaba iba caminando por un parque que estaba cerca de mi casa…Pero algo extraño ocurría: no podía abrir los ojos, porque si los abría, el sol me lastimaba los ojos, al grado de ocasionarme dolor…Intentaba una y otra vez abrirlos para poder ver por donde seguía caminando, pero no podía…El dolor era insoportable…Pero sabia que tenia que caminar, para llegar a no se donde, pero tenia que llegar…Y entonces iba caminando con los ojos cerrados, temiendo que pudiera tropezar con algo y caer…De vez en cuando abría los ojos, solo para ver que el dolor seguía…Pero también me daba cuenta de otra cosa…Aunque miraba el parque solo en el momento en que abría los ojos por unos segundos, alcanzaba a captar que el parque se miraba diferente. Los colores de los árboles y el pasto se miraban mas vivos, y la luz del sol era tan brillante que casi era de color oro, y casi se podía ver por encima del paisaje, coloreándolo…Y yo continuaba caminando.. Me daba mucho temor caminar así, pero a pesar de esto, seguía y seguía caminando, abriendo los ojos de vez en cuando, y pensando porque el mundo se veía tan diferente…Y caminaba, hasta que finalmente despertaba…
Dicen que todos los sueños son un intento de nuestra voz interior por decirnos algo…Ahora que pienso, creo que tengo la respuesta…

La luz brillante del sol significaban las cosas buenas que llegan a nuestra vida, pero que implican un cambio en nuestra forma de pensar o de ver la realidad…
El dolor que sentía en los ojos indica el esfuerzo a veces doloroso que conlleva romper con todos nuestros esquemas habituales de vida…Pero al romperlos, nuestro esfuerzo valdrá la pena, pues la luz de una nueva vida nos permitirá ver las cosas como realmente son, en toda su belleza…Solo tenemos que ser constantes y vencer ese dolor de crecer emocionalmente…vencer el miedo a cambiar…Entonces tendremos el valor de abrir los ojos, de ya no seguir caminando en la oscuridad, de ser realmente nosotros mismos…Esto cuesta…A veces cuesta algún tiempo, a veces cuesta toda una vida…Pero solamente la persona que es capaz de abrir los ojos sabe donde realmente está; entonces puede ver en forma clara su camino verdadero, y dirigirse a el sin temor…Sin temor de llegar a ser y expresarse como es verdaderamente…Sin temor de vivir la vida en toda su plenitud…Que cosas…

Una verdadera dama...

Corría el año de 1995 en Mexicali. Yo estaba pasando por una situación muy difícil. Yo lo veia como mi peor tragedia personal…Tenia alrededor de 5 meses buscando trabajo sin conseguir algo, hasta que por fin encontré, o más bien dicho el trabajo me encontró a mí… Una amiga mía me recomendó con un cuñado suyo que tenía una pequeña empresa de computación. Después de la entrevista inicial entré a trabajar al final de la semana. Mi nuevo jefe, que era una bella persona me presentó a mi también nuevo equipo de trabajo: Rubén, un individuo que me pareció bastante peculiar en ese momento, ostentando como característica principal ser ultra mal hablado…Y su contraparte total: La señora Martha, ya jubilada, que colaboraba con la cuestión administrativa en apoyo a mi jefe…Cuando la ví lo primero que pensé fue: ‘Dios mió, yo no le voy a caer bien a esta señora, se ve que tiene estándares muy altos de comportamiento e imagen’…Nada mas con verla podía adivinarlo: Iba vestida pulcramente, como la gente del jet set que sale en la revista Vanidades…de tal manera que a su lado me sentí una pordiosera…En ese tiempo yo era una especie de hippie renegona de la vida…
En fin…Transcurrió mi primer día de trabajo en forma tranquila. Por la tarde, mientras el camión avanzaba lentamente de camino a mis rumbos yo solamente pensaba: ‘Ay Dios, a ver como me va en este nuevo trabajo…’. Se llegó el día siguiente y yo continué con la labor de leer los manuales de los sistemas para cuyo soporte me habían contratado…Llegó la hora de la comida, y yo me moría de hambre. Resulta ser que como yo no tenía nada, pero nada de dinero, solo me iba al trabajo con 8 pesos, 4 para el camión de ida y 4 para el de regreso…Y pues cero para comer…Recuerdo que la señora Martha compró una torta Yucatán…Y me dió la mitad a mi…Así fue como comencé a conocer de la bondad de esta dama…Y con el tiempo fui conociendo su vida…Ella se había casado muy joven, y enviudó teniendo apenas 30 años…Se quedó con cuatro hijas, y luchando contra viento y marea las sacó adelante, siendo actualmente todas ellas personas hechas y derechas, todas con carrera universitaria y buenos trabajos…
Al conocer todo eso sentí mi tragedia personal sumamente ridícula… Pensaba en todo lo que esta señora habia logrado en la vida, a pesar de las circunstancias adversas…¿Y cómo era que algo así se podía lograr?…Me preguntaba yo…Pues como ella lo había hecho: Siguiendo un alto estándar de rectitud, honestidad, amor hacia su trabajo, su familia, hacia la vida y hacia los seres humanos… Entonces comprendí que aunque una gran tragedia golpeara nuestras vidas, en nuestras manos estaba decidir nuestra actitud ante el dolor y la adversidad…El afrontar los malos momentos con entereza, con valor, dando todo de una misma, creyendo ciegamente que Dios cuidará siempre de nosotros y esperando lo mejor de la vida…Eso es lo que yo llamé el código Martha… Sí, esta señora a quien despues llegué a ver como mi segunda madre, tenía un código real de calidad de vida…Que más que un código es una actitud ante la vida… He de decir algo: yo no soy como Martha, me he equivocado muchas veces, y a veces siento que arrastro conmigo fantasmas de un pasado confuso, que si bien he tratado de abandonar, no me deja completamente…Pero cuando me siento al borde, al borde de lo que sea, pienso en sus enseñanzas y siento dentro de mi algo que me dice que ella tiene razón…Eso me devuelve a mi camino. Cuando alguien me trata mal, lo primero que pienso es lo que ella dice: ‘Debemos tratar a la gente de forma amable, aunque ellos no nos traten así’…Cuando siento que los recuerdos de una infancia rara me abruman, recuerdo sus palabras: ‘Siempre debes querer a tus padres’…Y cuando hay días que me levanto con ganas de estar en el descuido total, vienen a mi mente estas palabras suyas: ‘Siempre hay que vestir bien… ¿Por qué? Porque la demás gente no es perfecta, y a todos nos gusta lo que viene con una bella envoltura, hasta a tí’…
Como dije, desgraciadamente yo no soy como Martha. He cometido varios errores, pero estoy completamente segura de que el haber tenido la oportunidad de conocer ese código de vivir ha enriquecido mi paso por este mundo…Y claro que trato de seguirlo…A veces lo logro (y créanme que de una forma espectacular); y a veces no, pero cuando lo logro siento que mi presente momentáneamente ha adquirido un poco de la calidad de vivir de esta verdadera dama…

domingo, 4 de marzo de 2012

Dias de reflexion...

Siempre he considerado la cuaresma un tiempo sumamente especial. Recuerdo que cuando era niña adolescente (11 años o algo menos), trataba de imaginar como serian esos dias, y hacia como que me transportaba a aquellos tiempos biblicos.  El evangelio que mas me gustaba leer era el de San Marcos porque era el mas corto. Si, era adolescente y actuaba como tal....  En aquel tiempo intentaba desesperadamente adquirir fe y creer realmente en Dios porque no me queria ir al infierno...
En alguna parte lei que para lograrlo habia que leer la biblia todos los dias. Y lo hacia, realmente lo hacia, pero no le entendia nada a veces.  Pero no lograba creer en Dios.  Entonces me transportaba a aquellos dias, me veia con ropa de aquellos tiempos y entre los protagonistas biblicos.  La escena en la que mas me gustaba situarme era cuando Jesus entra triunfante y la gente le avienta ramos al pasar.  En ese momento de lectura si lograba sentir lo que plasma ese texto del evangelio. Pero seguia sin creer en Dios.  Y asi pasó el tiempo. Un día, cuando tenia mas o menos 20 años, me di cuenta de algo: Si había logrado creer en Dios.  Estaba plenamente segura de que existia. Y hasta hoy lo sigo estando. Pero...No basta con creer, hay que unir la creencia con el actuar...Tal vez ese sera el reto de este año loco y raro... Porque realmente casi todo el mundo cree en Dios. Pero el creer en Dios y el actuar conforme esta creencia, a veces supone una larga distancia entre los dos puntos...Tal vez sea el reto de este año... Tal vez...

domingo, 26 de febrero de 2012

Cansancio emocional...

A veces no se que es mas pesado, si el cansancio fisico o el emocional.  Pero bueno, tenerlos a los dos es un poquito mas complicado.  Del cansancio fisico te puedes reponer con una buena dosis de sueno.  Pero el cansancio emocional, es como sentir un piedra en el cerebro, que hace nuestros pensamientos pesados y lentos... Pero, si del cansancio fisico te repones con dormir y descansar, del cansancio emocional como te repones?  Dejando de pensar?  Dejando de sentir? Creo que es la tarea que tengo para esta semana, averiguarlo...

miércoles, 22 de febrero de 2012

El poder de una decision..

Al leer de nuevo el muy interesante libro de Zig Ziglar, ‘Nos veremos en la cumbre’, un extracto de un párrafo que no había notado antes, llamó mi atención. El autor nos da una enseñanza, a manera de parábola:
En lo alto de una colina que daba a la hermosa ciudad de Venecia, Italia, vivía un anciano genio. La leyenda decía que podía responder a cualquier pregunta que se le hiciese. Dos niños del vecindario pensaron que podrían engañarlo, de manera que atraparon a un pequeño pájaro y se dirigieron a su residencia. Reteniendo al pajarillo en sus manos, uno de los muchachos preguntó al viejo si el ave estaba muerta o viva. Sin dudar, el anciano dijo: “Hijo, si te digo que el ave vive, cerrarás tus manos aplastándola hasta matarla. Si te dijo que tu ave está muerta, abrirás tus manos para dejarla escapar volando. Como ves, hijo, en tus manos tienes el poder de la vida y la muerte”.
Al autor termina el párrafo diciendo al lector:
“Esto se lo digo a Usted sin calificación, sin ninguna clase de reservas mentales. En sus manos sostiene las semillas del fracaso, o el potencial de la grandeza… Sus manos son capaces, pero deben ser utilizadas para las cosas correctas y para cosechar las compensas que puede alcanzar”.
Siendo un excelente libro motivacional, mas alla de pensar en el poder de la decision sobre nuetras vidas, en mi deja otra clase de enseñanzas paralelas, o como dicen por ahí ahora, lecciones aprendidas:
  1. Nunca permitir que el afán de tener la razón, nos orille a hacerle daño a otras personas.
  2. El talento no sirve de nada, si no se acompaña de honestidad y buenas intenciones.
  3. Mas sabe el viejo por diablo, que por viejo. Nunca debemos subestimar la experiencia de las personas que han vivido mas , y por lo tanto, saben mas.
  4. Sobre todo, ningun parrafo motivacional nos servirá si solo se toma como lectura, y no se intenta practicar….
  5. Y tal vez la ensenanza mas importante: EN NUESTRAS MANOS ESTA LA DECISION DE HACER ALGO MUY BUENO, O ALGO MUY MALO..SOLO NOSOTROS DECIDIMOS...NADIE MAS...Y solo nosotros vivimos con el peso de nuestras deecisiones dia con dia...
have a great day...

martes, 21 de febrero de 2012

Entre flores...


En el verde cesped, entre flores y los cantos de las aves, vas a descansar. Nosotros siempre estaremos pendientes de ti....

lunes, 20 de febrero de 2012

Miedo de vivir????


Mmm que cara.. A veces las situaciones desconocidas nos atemorizan.  Pero antes que todo debieramos darnos cuenta de que todo es parte del vivir, y  el vivir tiene sus misterios constantes porque...de no ser así, la vida seria un constante hastío....

Pues fuerte es el amor como la muerte...

Ponme como un sello sobre tu corazón, como una marca sobre tu brazo: Porque fuerte es como la muerte el amor...
No quiero pensar que mis sueños raros que he tenido se seguirán cumpliendo y todavia se vengan grandes cambios a nuestras vidas...Estos dias puedo decir abiertamente que le tengo miedo al futuro, y no me gusta esa sensacion...
Sera que la tormenta anunciará una nueva etapa en la vida pero..que clase de nueva etapa??.. Te extrañaremos mucho papá....Perdoname por no haberte sabido comprender...

domingo, 19 de febrero de 2012

Se fue sin despedirse...

A veces es muy difícil comprender los designios misteriosos de la vida.  Como puede haber gente que llega a nuestra vida, permanece dentro de ella y luego se marcha abruptamente, sin siquiera tener la oportunidad de despedirse.. Pero hay de partidas, a partidas.
Cuando se trata de alguien que nos ha dado la vida, estuvo por mas de 35 años en ella, es mucho mas difícil de comprender el por qué la Vida no le dio la oportunidad de despedirse, de decirnos: "Ya me voy, cuidense mucho, sigan adelante y echenle ganas que al rato nos veremos, porque esto no es un adiós sino un hasta pronto. Los quiero mucho...Perdonenme por las cosas que alguna vez pasaron".  Y tampoco a nosotros nos da la oportunidad de contestar: "Nosotros también te queremos mucho aunque casi nunca lo supimos demostrar. Perdónanos por no habernos conectado con tu vida de manera total y no haberte sabido comprender, por vivir siempre en mundos separados... Pero aun así te queremos mucho y te vamos a extrañar enormemente"...
Al menos de esa manera sentiríamos que de cierto modo los dejamos partir en paz, y no estar sintiendo esta especie de separación violenta y repentina que lastima el alma de una manera nunca imaginada.
Pero aquí tenemos el deber en nuestro corazón de jamas olvidar y seguir mantenimiento vivo el recuerdo, pues de este modo quienes nos han dejado así, estarán presentes por siempre, tal vez desde un lugar muy lejano, pero siempre presentes, para que recordemos todo lo que hicieron por nosotros y agradezcamos que nos dieron la oportunidad de llevar una vida digna...
 Y tal vez algún día, tal vez, el dolor se convertirá en una energía dentro de nosotros, que nos imlpusará a ser mejor cada vez, para honrar su memoria. Por el momento, eso no ha sucedido y el dolor aquí está presente...

martes, 14 de febrero de 2012

Unos aretes especiales

Hoy me he puesto unos aretes muy especiales.  Hace 2 años me tocó dar unas capacitaciones para un nuevo sistema que se iba a implantar en Mexicali. Una dia una de las asistentes me pidió cambiarla de grupo porque tenía que ir a su cita de la visa laser. Pues no le ví ningun problema en hacerlo.  Ya en los últimos dias, cuando estabamos haciendo la evaluación final, se me acercó y me entregó una cajita y me dio las gracias por haberla ayudado. Se fue casi corriendo sin darme oportunidad de decir algo. Cuando abrí la cajita, eran estos aretes que traigo.  Sentí tan bonito que existan personas conscientes de los demas, que resaltan lo bueno, a cambio de lo malo. Los aretes, los guardo como si fueran un tesoro y solo los uso en ocasiones especiales...

Con juguete nuevo..

Ahh me siento como niña con juguete nuevo con este blog. Voy a escribirle y a escribirle y a escribirle...

Bello dia de San Valentin...

Hoy fue un bonito dia de San Valentin ya que he pasado un día de trabajo muy agradable, me he reido mucho. Por la tarde, he salido a comer con unos amigos que acabo de rencontrar y que tenia cerca de 5 años que no los veia. La verdad ma da tanto gusto que se hayan reintegrado a mi vida. Fuimos a un lugar muy agradable a comer comida coreana, que es muy rica por cierto.
A veces pensamos en el significado de este dia. Amor, amistad.  Todos sin excepcion tenemos a alguien que nos quiere y nos apapacha.  Y muchas veces no sabemos valorar a esas personas que hacen nuestra vida cotidiana mas ica y agradable.  Y buscamos por tantos lados la amistad perfecta, o el amor perfecto, cuando lo hemos tenido ante nuestros ojos siempre.
Cuando niña leí una historia muy bonita. Era un cuento arabe de un hombre que tuvo un sueño que le decia que en una ciudad lejana estaba un tesoro enterrado. Pues el hombre viajó con muchos sacrificios a la ciudad del sueño. Buscó por todos lados el tesoro y no lo encontró. Al volver desilusionado a su pueblo, se sentó junto a un arbol de su casa. De pronto tuvo una idea y empezó a cavar, y ahí estaba enterrado un inmenso tesoro. Y el que se fue  tan lejos buscandolo cuando siempre había tenido en frente de sus ojos.
En fin...Ha sido un agradable dia de San Valentín...
He festejado la alegria de estar viva, de ser completamente libre para ir, venir, volver y regresar cuantas veces lo quiera...

lunes, 6 de febrero de 2012

Los caminos de la vida

A veces la vida nos lleva por caminos locos e inesperados. Un dia sentimos nuestro mundo de lo más tranquilo y, de pronto, este se va amenazado por una serie de nubarrones que no dejan ver lo que hay mas adelante. Así me ha pasado en tres ocasiones de mi vida. La primera, fue cuando tuve un fuerte y raro accidente que me dejo sin caminar por un buen tiempo.  Estaba en la mañana haciendo planes para el dia, y en la noche en el hospital.  Logré sobrevivir a la experiencia con exito, pero siento que fue un proceso muy cansado y doloroso, que pudo haber sido diferente.
Analizando la vida, veo que muchas veces nosotros mismos nos creamos las situaciones de estres y de presion. Las malas decisiones golpean nuestra consciencia dia a dia antes de dormir.
No se,  me gustaria empezar a escribir y escribir sobre la vida, sobre mi vida.